Lorsque Ethan, son amour d'enfance, se présente sur le pas de sa porte, Kendra doit apprendre à aimer ou risquer de le perdre à nouveau.
Kendra, membre fidèle du sex-club des veuves de Winchester Drive, est parfaitement heureuse avec la vie qu'elle s'est construite depuis la perte de son mari. Bien sûr, l'un de ses amants s'en va pour commencer une nouvelle vie, mais elle a toujours son habitué, Chip, et il y a même un nouveau gars dans le club pour la tenir occupée. Elle ne s'attache pas, et cela lui convient parfaitement.
Mais lorsque l'amour de sa vie, Ethan, se présente sur le pas de sa porte, il apporte avec lui des souvenirs douloureux de secrets et de mensonges - des sentiments que Kendra a caché pendant des années.
Réussira-t-elle à le laisser revenir dans sa vie et dans son lit sans que ses petites émotions ne surgissent ? Sa vie insouciante n'est-elle pas aussi libérée et simple qu'il n'y paraît ? Ethan est peut-être ce dont elle a besoin pour ouvrir enfin son cœur à l'amour.
General Release Date: 1st October 2021
— Dis mon prénom. S'avançant derrière moi, sur le point de me pénétrer pour la toute dernière fois, le militaire avait soudainement décidé qu'il avait des exigences. « Juste pour ce soir, appelle-moi par mon prénom.
— Euh... Il ressemblait un peu à un Josh. Réfléchis, Kendra. Je cherchai au fond de mon cerveau. « J'aime bien ‘le militaire’. Ça te va bien.
Il souleva mes bras un par un, les plaçant sur le mur comme s'il allait faire une fouille corporelle.
— Tu ne sais pas, hein ?
Merde.
— Je le connais. C’est que... Eh bien, tu sais que je ne m'implique pas. Les prénoms, la famille et tout ça... Je ne le fais pas ça. Tu le sais très bien.
Il traça un doigt le long de ma colonne vertébrale, me faisant frémir.
— Trois mois, Kendra. Trois mois que je dors dans ton lit au moins une fois par semaine, et tu ne connais même pas mon nom.
Dormir ? Ouais, ce n'est pas exactement comme ça que je l'aurais appelé.
— Josh ? je proposai.
— Josh ! Est-ce que j'ai l'air d'un Josh ? Tu te moques de moi. Ça ne va pas rester impuni. Il tira mes fesses vers lui, frotta ses grosses mains autour de mes fesses, puis donna une claque assez forte pour piquer. « Essaie encore.
Il glissa sa bite, dure et prête, sous moi, attendant de me prendre à nouveau. Putain. Rien ne me venait à l'esprit. Pourquoi n'ai-je pas écouté davantage ?
— Nick ? Gifle. « Matt ? Il gloussa et me gifla encore. J'ai fermé les yeux et essayé de me souvenir du nom sur son uniforme. « Dan. C'est Dan.
Son corps chaud s’étendit sur mon dos, m'enveloppant.
— Dis mon nom, chuchota-t-il dans mon oreille en me pénétrant par derrière.
— Oh, Daniel, je ronronnais. Il glissa sa main autour de mon ventre, me tenant contre lui. « Baise-moi, Daniel.
Il trouva mon clito avec ses doigts, et j’agrippai au mur alors qu'il me remplissait encore et encore.
Daniel était un homme fort, puissant. Il semblait consister d’au moins quatre-vingt-dix pour cent de muscles. Il lui était facile de me soulever et de me tenir contre lui pendant qu'il me pénétrait.
Il se retira puis il me tourna vers lui.
— Je veux te regarder si c'est la dernière fois.
Il me souleva et me fit descendre sur sa queue, mes bras écartés derrière moi pour me stabiliser, mes jambes enroulées autour de sa taille.
Il s'accrocha à ma taille et ralentit, tortillant et tordant jusqu'à ce qu'il trouve la position parfaite. L'extase. Seul Daniel pouvait me faire jouir sans toucher mon clitoris. Il avait juste à trouver mon point G, et je fondais dans ses mains grandes et fortes.
Il me taquina, réduisant sa vitesse, écoutant ma respiration, penchant sa tête vers moi et embrassant entre mes seins.
— Je veux te faire jouir pour que tu ne m'oublies jamais.
Il changea de position encore.
— Putain !
Un million de terminaisons nerveuses ont explosé dans moi, envoyant un séisme de plaisir. Cet homme était une machine, il tordait et contorsionnait son corps, me portant à mains nues et me faisant crier de plaisir.
Je jetai ma tête en arrière et hurlai son nom alors que ma chatte se resserra autour de lui, pendant que des vagues de plaisir s'écrasaient sur sa bite.
— Merde. Il tourna sur lui-même en jouissant, incapable de me tenir, ses jambes cédant sous la force de son propre orgasme. « Merde, Kendra, tu me tues à chaque fois.
Me descendant doucement sur le lit, il enleva le préservatif et s'effondra à côté de moi, complètement dépensé.
— Tu vas me manquer, Daniel.
— Cette queue va te manquer.
Il agita sa cuisse, sa bite fatiguée faisant une dernière danse d'honneur.
— Non, sérieusement. Je sais que je ne dis pas ces choses-là, des choses mignonnes du genre petite amie, mais tu vas quand même me manquer.
— Ça n’a pas besoin de finir comme ça, tu sais…
Oh, le pauvre.
— Bien sûr que si. Tu vas sauver le monde, tomber amoureux d'une gentille jeune femme, acheter une jolie petite maison en lotissement et avoir plein de jolis bébés. C'est comme ça que ça doit se faire.
Il m'avait enveloppé dans ses gros bras et, pour une fois, je ne disais rien. D'habitude, je n'étais pas très câline, mais ce soir ça ne me dérangeait pas.
— Je veux toi, il marmonna en s’endormant.
— Dors un peu. Grosse journée demain.
Son entraînement militaire était terminé Demain j’allais lui donnais sa première mission : sortir de ma vie.
Tout le monde te quitte éventuellement. J'ai appris à vivre avec. Quand mon mari est mort subitement il y a quelques années, c'était presque comme si je me demandais pourquoi il ne l'avait pas fait plus tôt.
Je l'ai déjà dit et je le répète... Ne t’attache pas. Pas de noms, pas de familles.
C'est mieux comme ça.
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